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Les trésors religieux de nos églises

 
 

Église St-Joseph

 

LA CÉRAMIQUE

Elle fut le premier matériau d’art à entrer dans l’église, faisant, pour ainsi dire, partie de la construction, puisqu’elle recouvre à la grandeur des murs du chœur.

Des milliers de petites tuiles émaillées, de teinte blanche, grise, brune et dorée, assombrissent légèrement l’abside et lui confère un cachet de recueillement, de mystère. Sous le coup des luminaires, les tuiles dorées scintillent.

Ce travail d’art et de patience est l’œuvre du céramiste québécois Claude VERMETTE de Ste-Adèle-en-haut, pays de « Séraphin ».

LA MURALE DE SAINT-JOSEPH

Aux yeux de quiconque s’avance dans l’église apparaît, sur une grille de bois qui domine le chœur, la murale en céramique de Saint-Joseph, ouvrier, patron de la paroisse.

La commande de l’image patronale fut sonnée à Jordi BONET, un artiste fort en vogue dans les années ’60.

Jordi BONET naquit à Barcelone, Espagne, en 1932. Arrivée au Québec en 1954 et, déjà peintre remarqué, il étudie la céramique à l’institut des arts appliqués de Montréal.

Soyons donc très honorés, à St-Joseph de Sept-Îles, de posséder une œuvre de Jordi BONET, privilège que nous partageons avec seulement quelques grandes villes de monde.

LES VITRAUX D’ART (CHEMIN DE CROIX)

C’est en France que l’on dirigea le curé GAMACHE pour la réalisation du chemin de croix, un peu spécial, qu’il avait imaginé. Pas de métal, pas de bois, pas de plâtre, mais du verre de couleur teint dans la masse qui constituerait, à la fois quatorze « stations » et quatorze vitraux d’art.

Un célèbre verrier de Chartes, Gabriel LOIRE, acquiesça à la demande du Père GAMACHE de créer son chemin de croix. Le curé dicta les inscriptions et suggéra quelques attitudes pour les dessins.

Dès son installation, le chemin de croix plut à tous, même aux plus difficiles. Aujourd’hui encore il suscite l’admiration générale, et pour cause. Au cours de la journée, les rayons du soleil viennent animer chaque station et le soir, un tube lumineux, à l’arrière de chaque vitrail, en fait ressortir les couleurs.

Disons, pour terminer, que le chef-d'œuvre de Gabriel LOIRE est probablement unique au Québec. Il s'agit d'un chemin de croix constitué exclusivement de vitraux d’art authentiques.

LES STATUES

Elles ne sont pas nombreuses dans l’église St-Joseph, juste l’essentiel : un Sacré-Cœur et une Sainte-Vierge qui viennent, chaque côté de St-Joseph compléter la Sainte-Famille.

Faites de terre cuite et fixées dans une attitude quelque peu hiératique, les deux statues qui, à première vue, apparaissent figées à cause d’un style plutôt allongé gagnent à être regardées longuement et fréquemment. Leur contemplation nous fait pénétrer peu à peu dans leur intérieur pour y découvrir leur mystère, leur signification, leur langage….

Ainsi, le Sacré-Cœur tenant sa main droite sur le cœur et la gauche grande ouverte sur la cuisse illustre bien la double inscription de fer forgé qui accompagne la statue : « AMOUR DE DIEU » (main sur le cœur) et « SALUT DES HOMMES » (paume ouverte s’offrant à la crucifixion).

LES FONTS BAPTISMAUX

Il est de forme d’une tourelle, complètement détachée de l’église, mais reliée à elle par un court passage. Ce petit temple particulier fait ressortir l’importance du premier sacrement, en lui réservant une chapelle spéciale.

Au centre de sa couverture pointe vers le ciel une tige de métal où s’agrippe une colombe aux ailes déployées représentant le Saint-Esprit qui, pour ainsi dire, plane sur les fonts baptismaux.

La tourelle aurait un aspect plutôt sévère sans les blocs de verre distribués avec art parmi les briques, ce qui vient égayer son extérieur et permet à la lumière du jour de s’infiltrer doucement à l’intérieur.

Il est agréable à voir cet intérieur, recouvert d’un carrelage émaillé aux tons de pastel où dominent le bleu pâle et le rose.

La rotondité de la pièce invite les assistants à former cercle autour du mur pour fixer leur regard sur l’objet central, la fontaine baptismale. Elle prend la forme d’une grosse jardinière en pierre gris pâle, portant en creux l’eau du baptême.

LES CLOCHES

La cloche est à l’église ce que la langue est à l’homme. C’est au moyen d’expression, son langage, de sa voix, argentine ou grave, mais toujours sonore, qu'elle convie à la prière, exalte les fêtes, dit au revoir, à la sortie. La cloche, essentiellement communautaire, associe tous les paroissiens aux joies et aux deuils des familles.

Les concepteurs de l’église St-Joseph ont construit pour les cloches un « appartement » spécial de trois étages, proche, mais complètement séparé de l’église. Un beau campanile de 75 pieds, à la fois solide et gracieux, où les cloches, chacune à son étage, peuvent s’en donner à cœur joie et résonner en plein ciel sans ébranler l’église.

C’est à la maison PACCARD de Haute-Savoie, France, maison renommée, que l’on a confié de fondre les cloches de notre église. Elles sont quatre, donnant ensemble ou séparément les notes : ré, sol, la, si.

On sait que les cloches d’église sont « baptisées » ou plutôt consacrées par l’évêque. Elles portent même un nom. Ce « baptême » de nos cloches eut lieu le 14 décembre 1958, présidé par Mgr Gérard COUTURIER, alors évêque du diocèse.

Les nôtres s’appellent :

PREMIÈRE CLOCHE - RÉ
pèse 3560 livres,
sous le nom de JEAN
S.S. Pie XII.
S. Exc. Mgr Napoléon-Alexandre LABRIE, c.j.m.
1er Évêque du Golfe St-Laurent.
La première face : Calvaire
Sous effigie
Jean C. GAMACHE, ptre-curé de la paroisse
Saint-Joseph de Sept-Îles.
Pour honorer la pieuse mémoire de
Julien-Marie Ronald BERNATCHEZ
Né le 14 mai 1931
Décédé accidentellement le 17 janvier 1956
Son père Eugène BERNARCHEZ,
Sa mère Mary SMITH BERNATCHEZ,
Sa sœur Lydia BERNATCHEZ VAILLANCOURT,
Son frère Reynold BERNATCHEZ,
Font don de cette cloche à leur église paroissiale.

La deuxième face sous l’effigie
Saint-Jean (comme évangéliste)
Armoiries du St-Père et de l’Évêque.
Parrain et marraine
M. Mme Eugène BERNATCHEZ
Dédicace :
Je chante vos joies,
Je pleure vos deuils,
Toujours ma voix est une prière.
Anno Domini 1957

DEUXIÈME CLOCHE - SOL
Pèse 1520 livres
Sous le nom de : JÉSUS
S.S. Pie XII.
S. Exc. Mgr Napoléon-Alexandre LABRIE, c.j.m.
1er Évêque du Golfe St-Laurent.
La première face : Christ en croix
Sous effigie
Christ-Roi
En hommage à
MM. les Vicaires,
MM. les marguilliers,
Aux Communautés religieuses,
À toutes nos associations paroissiales et à
tous les généreux donateurs de ce carillon.

La deuxième face
Parrains : Les pères de famille de la paroisse.
Dédicace :
Sit nomen domini benedictum
A.D. 1957

TROISIÈME CLOCHE – LA
Pèse 1076 livres
Sous le nom de : MARIE
S.S. Pie XII.
S. Exc. Mgr Napoléon-Alexandre LABRIE, c.j.m.
1er Évêque du Golfe St-Laurent.
La première face : Christ en croix
En hommage à nos corps publics,
À nos chefs d’industrie et de commerce et
À tous les travailleurs de la paroisse

La deuxième face
Marraines : Les mères de famille de la paroisse.
Dédicace :
Magnificat anima mea dominum
A.D. 1957

QUATRIÈME CLOCHE – SI
Pèse 780 livres
Sous le nom de : JOSEPH
S.S. Pie XII.
S. Exc. Mgr Napoléon-Alexandre LABRIE, c.j.m.
1erÉvêque du Golfe St-Laurent.
La première face : Christ en croix
Sous effigie
Saint-Joseph (comme artisan)

La deuxième face
En hommage
aux anciens missionnaires de la paroisse,
prêtres, séculiers, Oblats et Eudistes,
à tous les braves navigateurs fidèles serviteurs
de la région, aux jeunes gens et aux jeunes filles,
à tous les enfants de la paroisse, ces derniers
étant parrains ce cette cloche.
Dédicace :
Sancte Joseph, ora pro nobis
A.D. 1957

C’est M. Denis Fortier qui depuis plus de 50 ans s’est occupé de l’entretien des cloches.

LE MÉTAL, MATÉRIAU D’ART

Au Pays du fer, il convenait que le métal, surtout le fer et son cousin le cuivre, ait sa part dans la construction de nos plus grandes églises de la région.

Disons d'abord que les principaux objets de l’église (le tabernacle, le crucifix, l’autel et l’ambon) doivent leur existence et leur soutien au métal.

SA MAJESTÉ, LE BOIS

Un refrain populaire nous fait chanter : « Mon beau sapin, roi des forêts ». Dans l’église Saint-Joseph de Sept-Îles, à l’orée de la forêt, le bois occupe une place d’honneur. Dix arcs de beau bois lamellé soutiennent tout l’édifice, servant à la fois de chevrons, de colonnes et de poutres. Sur le sol en terrazzo, de nombreux bancs de chêne doré bien disposés accueillent les fidèles qui peuvent prier à l’aise, assis, debouts, même à genoux, car la bourre des agenouilloirs supporte moelleusement les genoux les plus délicats.

EN CONCLUSION

Bois, fer, cuivre, verre, céramique et terre cuite, tels sont les matériaux de choix que des mains expertes ont manipulés avec adresse et avec art, pour donner à notre église, un aspect de beauté et pour y créer une atmosphère de joie paisible, une ambiance de piété.

LE PRESBYTÈRE

Un presbytère dans une paroisse est principalement destiné à assurer le logement des curés et des prêtres. Il sert aussi de bureau d’administration de la paroisse. La valeur patrimoniale d’un presbytère repose sur son intégrité tant architecturale que fonctionnelle.

À une certaine époque, le presbytère de St-Joseph a été vendu aux fins de chambres et pensions. Le curé et les prêtres de la paroisse ont été localisés à ce moment-là dans un grand appartement de la rue Napoléon soit dessus du commerce « Le petit chaperon Rouge ».Le bureau d’accueil de la paroisse quant à lui a été localisé à l’église même près de la sacristie et des fonts baptismaux.

Vers les années '80, le presbytère St-Joseph a été racheté par la paroisse afin d’y rétablir les fonctions de presbytère et ainsi héberger les membres du clergé. Le bureau de la fabrique a été réaménagé à nouveau dans ce bâtiment. Quelques modifications ont été apportées avec le temps, mais en général ses éléments architecturaux ont conservé leurs origines.

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Église Ste-Famille

LES TABLEAUX (CHEMIN DE CROIX)

En entrant dans la Maison de Dieu, nos yeux sont dirigés vers trois grands tableaux représentant le chemin de croix de la passion de notre Seigneur Jésus Christ. L’œuvre des toiles a été réalisée par l’artiste peintre sculpteur André Michel en 1967.

Si le riche patrimoine culturel et artistique des villes de Mont-Saint-Hilaire et de Sept-Îles est aujourd’hui mis en valeur, c’est en grande partie grâce à André Michel, un peintre et sculpteur engagé, au chemin de vie peu ordinaire. Né à Avignon, en France, en 1945, André Michel fréquente l’École des beaux-arts de sa ville natale. L’artiste a résidé pendant 18 ans à Sept-Iles.

Parallèlement à son engagement social, l’artiste n’a jamais cessé de créer et d’exposer à travers le monde avec succès. L’impressionnante carrière d’André Michel, qui est loin d’être terminée, lui a valu de nombreux prix, médailles et reconnaissances.

LES STATUES

À l’entrée du chœur à gauche, on y aperçoit une œuvre sculptée en bois naturel représentant la Sainte famille soit : Joseph, Marie et Jésus. La réalisation de celle-ci est du sculpteur Jacques Bourgault.

Jacques Bourgault est un sculpteur québécois reconnu pour sa pratique de l’art religieux, forme d'expression qu’il exerce depuis une cinquantaine d’années à Saint-Jean-Port-Joli, capitale de la sculpture sur bois au Québec. Plus d’un millier de ses œuvres ont d’ailleurs été acquises par maintes paroisses et communautés religieuses en Amérique du Nord. Les pièces de Jacques Bourgault se distinguent essentiellement par la représentation humaine de ses sujets religieux.

Né le 10 janvier 1940 à Saint-Jean-Port-Joli, Jacques Bourgault est le quatrième fils de Médard et Marie-Rose Bourgault. Dès son plus jeune âge, Jacques Bourgault aspire à devenir navigateur, tout comme son père fut marin avant d’évoluer dans la sculpture d’art religieux.

Jacques Bourgault utilise différentes essences de bois pour réaliser ses œuvres, pour lesquelles il préfère conserver la couleur naturelle. Le tilleul, un bois blanc, le noyer, plus tendre, le chêne ainsi que le merisier, lui inspirent l’impulsion qui transcende ses sculptures aux contours et aux lignes épurées.

SAINTE TABLE

Le bois est en valeur dans le chœur de l’église Ste-Famille. En fait la Sainte Table est de fabrication de bois d’un sculpteur Sept-Îlien. Dans l’œuvre de M. Jean-Marie Lévesque, on peut y apercevoir la gerbe de blé et la grappe de raisin qui nourrit nos vies. Ce sont les fruits de nos labeurs.


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Église Marie-Immaculée

LES FRESQUES (CHEMIN DE CROIX)

Le 7 avril 1962, les 14 stations du Chemin de Croix en plâtre sont installées sur chacune des colonnes de la structure de l’église et bénies par le curé Paul-Arthur Poisson.

LES STATUES

En septembre 1960, arrivent en même temps des statues de marbre venant d’Italie : celle du Christ, à elle seule, pèse plus de 700 livres, et celles de Marie au pied de la croix, de St-Joseph, de St-Jean-Vianney et de St-Pie X.

En 1981, c’est l’installation officielle d’une statue de Notre-Dame du Cap, don de la communauté oblate de Sept-Îles. Elle sera remplacée par une statue de l’Immaculée le 16 décembre 1989. La statue de Notre-Dame du Cap a été envoyée à la réserve indienne de Saint-Augustin. La nouvelle statue est payée en totalité par les dons des paroissiens.

Lors du 50e anniversaire de la paroisse, la statue de l'Immaculée prend un air de jeunesse par les mains habiles d'une peintre de la Côte-Nord: Madame Diane Ross.

ORGUE À TUYAUX

La seule église à posséder un orgue à tuyaux à Sept-Îles. Il porte la marque de Pels, nom d'une compagnie hollandaise, Société J.M.L. Pratte, Soc. Inc. L'orgue comprend deux claviers, 29 jeux, 932 tuyaux, 12 accouplements, boutons automatiques aux claviers et au pédalier ainsi que pistons généraux. Il est arrivé à Sept-Îles le 24 janvier 1960 par bateau.

L’AUTEL, PORTE-CIERGE, LUTRIN

Lors des festivités du 50e anniversaire de la paroisse, le choeur subit un grand nettoyage ainsi qu'une nouvelle décoration.

Quand nous prenons le temps de regarder la décoration de l'église Marie-Immaculée, nous constatons une unité dans les matériaux utilisés. Le BOIS et le FER sont mis en valeur.

Le BOIS par les bancs, le pourtour de l'église et l'autel. En effet, l'autel d'origine fût détruit et remplacé par un autel en bois avec un dessus en granite. Ce nouvel autel est le fruit d'artisans de la Côte-Nord. Monsieur Alain Paré a fait le meuble en bois et monsieur René Moreau la sculpture sur le devant de l'autel. Le dessus en granite a été fabriqué par GRANIJEM de Baie-Comeau.

Le FER par les inscriptions sur les autels latérales, le lutrin, les portes-cierges d'autel, le porte-cierge pascal et les 4 portes-cierge signent que notre église est consacrée. Ce beau travail a été effectué par un artisan de Sept-Îles: monsieur Marius Bélanger.

LES FONDS BAPTISMAUX

C'est à l'occasion du baptême d'une adulte que la paroisse a renouvelé ses fonds baptismaux en 2011. Il est maintenant en bois, ce qui s'harmonise bien avec l'autel de notre église. Sa confection est le travail de monsieur Raynald Poulin, ébéniste.

LES CLOCHES

L’architecte de l’église Marie-Immaculée, M. Lucien ROBITAILLE a réalisé selon ses plans un clocher construit à même les infrastructures de l’église. Le 5 octobre 1960, les premières cloches de l’église Marie-Immaculée arrivent par camion en provenance de Montréal. Chacune de ses cloches sont gravées en l’honneur de nos missionnaires Oblats qui ont marqué l’histoire de la paroisse Marie-Immaculée.(Gérard COUTURIER, évêque du diocèse, Jean-Charles LAFRAMBOISE, Léopold LACASSE et Paul-Arthur POISSON, oblats de Marie-Immaculée).

La bénédiction des quatre cloches a eu lieu le 8 octobre 1960, à 14 h 30 par Mgr. Gérard COUTURIER. Pour la bénédiction des cloches Mgr COUTURIER était accompagné des R. Pères Omer PROVENCHER et Joseph BLOUIN, omi, comme diacre et sous-diacre. Assistaient au chœur le R. P. Jean-Louis AREL, omi, représentant officiel du Révérend Père Provincial, M. l’Abbé Jean-Charles GAMACHE, curé de la paroisse St-Joseph et vicaire forain, les Pères Léopold LACASSE, omi, curé fondateur de la paroisse, Raymond PAINCHAUD, omi, curé fondateur de la paroisse du Christ The King , Paul-Arthur POISSON, omi, premier vicaire, Léo LAURIN, omi, directeur du Pensionnat Indien, Jean-Guy LE MARIER, omi, professeur de théologie au Scolasticat St-Joseph d’Ottawa – pour diriger la marche de la cérémonie, Marcel LAVALLÉE, c.s.v. préfêt spirituel à l’école Gamache et M. l’Abbé Haward DUFFY, curé de Moisie.

PREMIÈRE CLOCHE - FA
Sous le nom de : GÉRARD
En hommage à Mgr Gérard Couturier
Évêque du diocèse de Hauterive en 1960
Elle porte l’effigie de l’immaculée Conception

DEUXIÈME CLOCHE - LA
Sous le nom de : JEAN-CHARLES
En hommage à Jean-Charles Laframboise, O.M.I.
Provincial des Oblats
Qui desservent la paroisse en 1960
(Province Notre-Dame du Très Saint-Rosaire)
Elle porte l’effigie de St-Jean, l’Évangéliste

TROISIÈME CLOCHE – DO
Sous le nom de : LÉOPOLD
En hommage à Léopold Lacasse, O.M.I.
Curé-fondateur

QUATRIÈME CLOCHE – RÉ
Sous le nom de : PAUL-ARTHUR
En hommage à Paul-Arthur Poisson, O.M.I.
Premier vicaire de la paroisse
Elle porte l’effigie de St-Joseph, artisan

LE PRESBYTÈRE

Le bâtiment a toujours été le lieu pour habiter les prêtres et les frères aux services de la paroisse. Quelques modifications ont été apportées avec le temps; changement des fenêtres et de l'entrée du presbytère. Des petites salles ont été aménagées pour les rencontres des petits groupes aux services de la pastorale. Nous avons aussi les bureaux pour l'administration de la fabrique.

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Église St-Cœur-de-Marie

LES CLOCHES

En ce qui concerne l’église de Saint-Cœur-de-Marie, une cloche de 600 lbs est arrivée durant la semaine du 10 novembre 1933. Au dimanche suivant, soit le 17 novembre vers les 14 heures le Père a procédé à la bénédiction de ladite cloche. Après avoir entonné le Te Deum, plusieurs sursautent en l’entendant tinter. À tour de rôle, les paroissiens ont eu l’occasion de la faire sonner. Le dimanche suivant, la veille de Noël, la cloche fut baptisée au nom de : « Marie Jeanne Julienne ».

 

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